Quitter la rat race : mes 7 étapes pour plaquer mon job

Je vis le métro-boulot-dodo comme un vrai CALVAIRE.

Vraiment. C’est une oppression. J’ai l’impression de subir la même journée en boucle.

Certains de mes collègues ont même pété un câble au fil des années.

Ils passent leur journée à faire la gueule. Le regard froid. Un sourire absent. Leur quotidien s’est transformé en torture. Du coup, ils s’en prennent à la Terre entière.

C’est le cas de Franck. Un collègue aigri. Celui qu’on n’aime pas croiser le lundi matin.

On me disait : « Faut pas en vouloir à Franck. Il a 30 ans de boite. Le ras-le-bol du quotidien a forgé son caractère ».

La vérité c’est que Franck aimerait se barrer de là.

Normal. Toutes ses journées commencent par un soupire de détresse. Le pauvre est à bout. Ses supérieurs antipathiques lui tapent sur le système. Les coups de poignard des collègues l’ont dégouté du boulot.

Mais impossible de partir.

Après tout, il doit bien payer le loyer, les factures et rembourser ses dettes. Poser sa démission serait du suicide.

Il se finirait sans revenu. En quelques mois, il se retrouverait à la rue à crever de faim.

C’est évident : Franck travaille pour survivre.

Il se lève chaque matin avec un seul objectif : payer les factures. Et sa peur de se retrouver sans ressource le paralyse.

Parce qu’il faudra revivre les périodes d’essaie. Parce que rien ne lui garantit que ça sera mieux ailleurs.

Alors, il subit. Il serre les fesses et continue de bosser la même société. Il restera coincé là, jusqu’à 64 ans, dépendant d’un travail qui le sort par les orbites.

Voilà les douleurs de la rat race.

Et je trouve cette métaphore parfaite

Je m’en rappelle encore. C’était mon premier CDI.

Je découvrais les joies du premier salaire. J’en ai profité pour acheter ma première voiture et louer une plus grande maison.

C’était le début du massacre.

Je laissais ma petite bourse d’étudiant de 400€ pour un salaire quatre fois plus élevé. Mes yeux s’illuminaient devant ma fiche de paie. Je me sentais comme un roi du pétrole.

Sauf que…

Mes revenus avaient augmenté, mais je restais incapable de mettre un rond de côté.

Je me sentais comme un rat dans une roue : je cavalais à toute vitesse, sans bouger d’un poil. Je courais toujours après le prochain salaire.

Mais impossible d’épargner. Impossible d’investir. Un jour je recevais mon salaire, le lendemain les factures l’aspiraient.

J’avais la gerbe.

Et le calvaire s’empirait. Chaque entrée d’argent finançait une dépense. Chaque dette soldée laissait place à une nouvelle.

La peur entrait dans mon quotidien. J’angoissais à l’idée de perdre mon boulot. Sinon, comment j’allais rembourser mes crédits ? Comme payer le loyer ? Pff…

Alors j’ai dit STOP.

Je refuse de consacrer ma vie à courir après les charges. Surtout en exerçant un job aussi stimulant qu’une file d’attente à la sécurité sociale. Je dois dégager de ce système pourri. Et vite.

Voici mes 3 motivations pour quitter la Rat Race

Raison n° 1 : Pour mon indépendance financière

Dépendre d’une seule source de revenus me tue d’angoisse. C’est comme tenir en équilibre sur un fil : s’il cède, je m’éclate au sol.

Parce qu’aujourd’hui « CDI » ne rime plus avec « sécurité ».

Vous ne me croyez pas ? Demandez aux victimes de la crise de 2008. Plus d’un million d’employés et d’intérimaires ont perdu leur travail à cause de ce carnage.

Source : https://www.insee.fr/fr/statistiques/1281194#titre-bloc-11

Et la crise du Covid nous l’a encore montré. Le risque zéro n’existe pas.

Rappelez-vous. Les licenciements économiques et les chômages partiels s’abattaient sur les familles. Les chiffres parlent d’eux-mêmes. En mai 2020, un quart des foyers se retrouvaient privés d’une partie de leurs revenus.

Source : https://www.insee.fr/fr/statistiques/4801313#titre-bloc-3

Pour ceux qui avaient déjà du mal à joindre les deux bouts, c’était le coup de grâce.

Voilà LE piège de la rat race : la dépendance.

Je le sais. Je suis conscient de ce danger quotidien. Mon CDI n’est qu’un siège éjectable contrôlé par mon employeur.

C’est pour cela que je développe des revenus alternatifs. Pour limiter la casse en cas de licenciement. Pour limiter ma dépendance. Pour me sentir libre.

Raison n° 2 : Pour devenir maitre de votre temps

Vous vous êtes salarié en CDI ? Oui ? Alors nous avons un point commun.

Et de ce fait, je sais que vous appréciez votre temps libre comme le repas d’un chef étoilé.

Normal. Chaque jour, votre travail vous impose le même rythme :

  • 1 heure de trajet bureau-maison
  • 8 heures de boulot
  • 7 heures de sommeil
  • 4 heures pour les tâches du quotidien (repas, douche, petit coin…)
  • 1 heure de pause entre ses activités

Bilan des courses : 21 heures par jour.

Il vous reste 3 heures pour vous.

Enfin, s’il vous reste quelques Watts dans vos batteries. Dans 95% des cas, vous finissiez vos journées crevées devant votre télé en essayant de rester éveillé.

Et le week-end ? Rien.

Vous rattrapez votre retard. Vous vous retrouvez avec une liste de tâche haute comme la tour Eiffel. Les courses, les rendez-vous administratifs, le nettoyage du jardin… et j’en passe.

J’ai bon ?

Vous ne disposez d’AUCUN moment de répit.

En attendant, vos bambins grandissent, vos projets de voyage ne voient jamais le jour et le stress quotidien laisse apparaitre vos premières rides.

À ce rythme, vous vous retrouverez retraité, épuisé, le dos broyé, incapable de voyager et forcé à survivre avec des revenus réduits de moitié.

Bon courage !

Je veux éviter ça. Les routines angoissantes, ça va quelques années. Mais je ne le supporterais pas toute ma vie.

Je veux prendre le contrôle de mon temps. Pouvoir profiter de mes proches, voyager ou prendre une journée de repos si besoin. Pour moi, c’est important.

Parce que, le temps restera ma ressource la plus précieuse.

Raison n°3 : Pour l’épanouissement 

Voici une anecdote.

J’étais au boulot. Je discutais avec mon collègue Antoine (j’ai modifié son nom).

Antoine travaille dans la boite depuis 30 ans. C’est un vieux de la vieille. Un ancien super calé en technique.

Pendant la pause déjeuner, on papotait de notre parcours scolaire. Il me racontait les histoires de l’époque, ses victoires et les gaffes.

Jusqu’au moment où il me confesse l’un de ses plus gros regrets.

Honnêtement, si c’était à refaire, je passerais les formations pour devenir garde forestier. J’aime bien le calme, la nature et les montagnes.

Alors, pourquoi tu ne l’as pas fait plus tôt ?

Bah, je sais pas trop. Après le Bac, j’ai commencé mon BTS Maintenance. Et de fil en aiguille, j’ai atterri ici. Et 30 ans après, je suis encore ici.

Imaginez.

Trois décennies à exercer un métier. Trois décennies à se casser le dos. Trois décennies à courir après des augmentations médiocres.

Et se dire à la veille de la retraite : « J’aurais aimé bosser ailleurs ».

Pendant toutes ces années, Antoine a participé à construire l’empire de son employeur. Et ses projets personnels sont restés au second plan.

Voilà mon pire cauchemar.

Alors je me bouge aujourd’hui. Pour une vie épanouie. Pour atteindre mes objectifs. Ainsi, je ne ressentirais aucun regret.

Parce que, je le sais, je n’ai qu’une partie à jouer. Une fois finit, impossible de revenir en arrière.

C’est difficile, je sais. Mais c’est possible. Avec les bonnes pratiques, du travail et de la persévérance.

Maintenant, dites-moi : obtenir votre liberté vous intéresse toujours ? Oui ? Non ?

Dans ce cas, laissez-moi vous présenter mon plan d’action personnel pour prendre mon indépendance, quitter mon job et vivre de mes propres revenus.

Allez ! On commence par les bases.

Étape 1 : Découper le projet

Mon objectif : générer un complément de revenus de 2500€ par mois.

Au début, ça me paraissait énorme. La marche me semblait trop haute. Alors j’ai séquencé.

Par exemple :

  • Générer 100€ par mois d’ici deux mois
  • Générer 500€ par mois d’ici cinq mois
  • Générer 1500€ par mois d’ici la fin d’année
  • Et ainsi de suite…

Vous comprenez l’idée ?

Je découpe. J’avance palier par palier. Je savoure chaque victoire. Je vis chaque étape comme un shoot de caféine.

C’est important. Parce que la quête d’indépendance n’est pas un sprint. C’est un marathon.

Étape 2 : Gérer mon argent

La règle d’or : épargner.

Parce que l’épargne témoigne d’une bonne santé financière. Savoir épargner, c’est savoir adapter ses dépenses à ses revenus. C’est gérer son argent, sans finir dans le rouge.

Alors j’ai mis de l’ordre dans mes comptes.

Comment j’ai fait ? Avec un plan d’action simple et rapide :

  1. Télécharger mes relevés de compte
  2. Catégoriser chaque ligne de dépense (carburant, courses, abonnements…)
  3. Faire la somme de chaque catégorie de dépense
  4. Réduire ou supprimer les dépenses excessives
  5. Suivre à l’aide d’une application (Bankin’, par exemple)

Résultats ? Mon taux d’épargne s’envolait. Le premier mois, je suis passé de zéro à 270€ d’épargne mensuelle. 6 mois après, j’économisais 540€.

Et j’ai créé mon fonds de sécurité. 9000€ en moins d’un an.

Après ça, j’ai remboursé mes dettes.

Ensuite, j’ai investi.

Faites-le. C’est important. Si vous n’arrivez pas gérer un salaire aujourd’hui, augmenter vos revenus vous guidera vers la catastrophe financière.

Alors allez-y. Dépoussiérez vos comptes. Vous créerez un premier capital, vous investirez une plus grande partie de vos revenus et vous boosterez votre évolution.

Étape 3 : Utiliser l’emprunt bancaire

C’est un véritable tremplin vers la liberté.

Un exemple ? Mon premier investissement locatif.

Fin 2022 : j’achète un T2 en campagne.

Pour le financer, j’emprunte 73 900€ à la banque. Cette somme comprend les frais de notaires, le prix du bien et les travaux d’amélioration.

J’ai décidé de réaménager la cuisine, transformer la salle de bain et mettre un coup de peinture dans toutes les pièces.

Image de mon premier investissement immobilier pour quitter la rat race

Aujourd’hui, ce bien me génère 1800€/an de revenus locatif (net de charges et net d’impôt).

Voilà la puissance de l’investissement immobilier.

  1. Vous trouvez un projet rentable
  2. Vous utilisez l’emprunt bancaire pour le financer
  3. Si votre opération tient la route, vous deviez pouvoir payer les charges, les mensualités de crédits et vous générer un complément de revenu

Ça parait simple dit comme ça ? Mais méfiez-vous.

Les biens rentables ne courent pas les rues. Pour garantir des revenus, vous devrez apprendre les bonnes stratégies.

Par exemple, dans les moyennes et grandes villes, les investisseurs adorent la colocation. Pourquoi ?

Je vous explique.

Au lieu de louer leur 70 m² à une seule personne pour 900€, ils créent 4 chambres. Chacune d’entre elles sera louée à un étudiant à 400 € par mois.

Alors ? Sortons la calculatrice… 1600€ de loyer.

Vous comprenez l’idée ?

Ces investisseurs augmentent leurs rentabilités grâce au mode d’exploitation. Parce que dans l’immobilier, les bonnes affaires se créent.

Si vous souhaitez plus de détails sur mon premier investissement immobilier, voici un article complet.

Mon premier investissement immobilier… et les larmes versées.

Je vous présente mon projet, mes erreurs, mes réussites et les chiffres en totale transparence.

Étape 4 : Investir mon argent

Quand je parle d’investissement boursier à mes proches, c’est toujours la même réaction : « Ouais, mais… C’est stressant, non ? ».

Ils m’imaginent derrière un ordinateur, en sueur, les yeux rouges, dopé au RedBull. Ils pensent que j’analyse des courbes H24, tendu, ma main sur mon clavier, prêt à dégainer et à acheter ma prochaine action.

Pas du tout.

En vérité, je passe 30 minutes par mois à gérer mes placements. Je me connecte, je vérifie l’évolution de mon portefeuille, achète des actifs et referme la session. Fin.

Ma méthode ?

  1. Je dresse une liste de produits qui m’intéressent
  2. J’achète tous les mois
  3. Je laisse le marché et le temps faire les choses

Voilà. Rien de plus.

Mais alors, comment gagner de l’argent et prendre son indépendance grâce à la bourse ?

J’y viens.

En vérité, il existe deux solutions.

Solution 1 : La prise de valeur de mes actifs

Prenons l’action Air Liquide, par exemple. Une société française spécialisée dans le gaz pour l’industrie et la santé. Un mastodonte de son secteur.

De 2013 à 2023, l’action d’Air Liquide a plus que doublé. Elle est passée de 62€ à 150€. Une augmentation de 140% en 10 ans.

C’est une bonne nouvelle pour les actionnaires. Cela nous permet de revendre l’action plus chère et d’encaisser de belles plus valus.

Avec une bonne analyse préalable et une vision sur 10 ans, vous pouvez acheter des parts de sociétés qui développeront votre patrimoine.

Le problème c’est que 10 ans, c’est long.

Alors. Existe-t-il une solution pour générer du cash sur le court terme ? Oui. La voici.

Solution 2 : Les dividendes.

Reprenons notre action Air Liquide. Chaque année, la société reverse une partie de ses bénéfices aux investisseurs.

C’est ce qu’on appelle un dividende.

Regardez ça : en 2021, l’entreprise m’a payé 2,90€ pour chaque action de mon portefeuille.

Source : https://www.airliquide.com/fr/actionnaires/investisseurs-analystes/investir-air-liquide

Alors oui…

2,90€ c’est maigre. Pas moyen de payer un hôtel à Tahiti avec ça.

Mais rappelez-vous : la bourse est une affaire de long terme.

Par conséquent, je réinvestis mes gains. J’achète de nouvelles parts. Je génère encore plus de revenus. Jusqu’à détenir assez d’actions pour me reverser un beau revenu passif.

Étape 5 : Vendre mes compétences

Cette fois, j’aimerais vous présenter Jennifer. Une businesswoman du tonnerre.

Jennifer gère un site sur la rédaction web et le copywritting. En gros, elle partage son expertise et aide les blogueurs à vendre leurs produits.

Au début, elle passait plusieurs mois à trouver des lecteurs, à apporter de la valeur et à créer une audience. C’est long. C’est difficile. Mais c’est indispensable.

Puis, Jennifer décida de lancer son offre. Un accompagnement pour écrire du contenu hypnotisant. Elle propose des astuces tirées de ses années d’expérience.

Et ça cartonne.

16 335€ de vente en 7 jours.

En quelques mois, Jennifer a développé une vraie machine à cash.

Aujourd’hui, elle vit à 100% de son site.

Jennifer peut consacrer du temps pour ses enfants. Elle s’est créé une activité qui lui permet de travailler depuis chez elle. Sans patron. Sans collègues colériques.

C’est ça la puissance de l’entreprenariat.

C’est du boulot ? Oui.

Ça demande du temps ? Beaucoup.

Il faudra sacrifier des week-ends ? Forcément.

Mais avec du travail et de la persévérance, votre business grossira. Petit à petit, vos revenus augmenteront. Jusqu’au jour où vous pourrez vivre à 100% de votre business.

Alors, chers amis, qu’attendez-vous ? À vos claviers.

(Pour les curieux, vous trouverez le site de Jennifer ici : her-business.com)

Étape 6 : Gérer LA ressource indispensable

Je suis comme vous : fidèle à mon smartphone, submergé de spam et tenté par les réseaux sociaux. Les joies du 21ème siècle.

Il m’arrive de m’assoir dans mon canapé, d’ouvrir Instagram et scroller au point de perdre la notion.

Le retour à la réalité se transforme en crise de panique.

J’aurais pu écrire un article, lire 20 pages d’un livre ou discuter avec quelques abonnés pour comprendre leur besoin.

Mais non.

J’ai perdu 2 heures à regarder des vidéos de chats. 2 heures à glander. 2 heures que je ne rattraperais jamais.

C’est indéniable : je dois protéger mon temps.

Pour cela, je change mes habitudes :

  • J’arrête de cramer mes soirées devant Netflix. À la place, je recherche des biens immobiliers rentables sur Le Bon Coin
  • Je limite les grâces matinée du samedi. À la place, je visite des appartements
  • Je range mes jeux vidéo. À la place, je me documente sur l’actualité boursière.
  • Je dis adieu aux heures de scrolle Instagram. À la place, je lis.

Je consacre chaque minute à mon projet de liberté. Je crée de la valeur. J’investis. J’apprends.

Parce que c’est MA priorité.

Ça me demande des sacrifices, de la discipline. Mais c’est pour la bonne cause. Chaque heure travaillée me rapproche de mon indépendance financière.

Étape 7 : Cultiver un état d’esprit de combattant

Quitter la rat race demande des nerfs solides.

Générer des revenus nécessite des compétences. Vous devrez apprendre, expérimenter, vous louper et réessayer. C’est le jeu.

Donc, préparez-vous aux périodes sombres.

Comme rechercher désespérément un appartement pendant plusieurs mois. Vous scannez internet, analysez les annonces, réalisez des visites… mais rien.

Le sentiment de solitude prend place. Puis la colère. Enfin l’injustice.

« Pourquoi je ne trouve rien bordel de merde ! Je me donne à fond chaque jour. C’est quoi le problème ?! »

Vous serez à deux doigts de fermer LeBonCoin, de balancer votre ordinateur par la fenêtre et d’oublier vos rêves d’indépendance.

Je sais. Je l’ai vécu à plusieurs reprises :

  • J’ai trimé 2 années sur un blog qui a lamentablement échoué
  • J’ai procrastiné 2 ans avant d’acheter mon premier appartement
  • J’ai revendu mes premières actions à cause d’une erreur stupide
  • J’ai voulu créer une chaine YouTube, mais cela n’a pas fonctionné
  • J’ai essuyé de violents refus de collaborations

C’est difficile.

Mais je reste dans la course. Je continue à me plier en quatre pour ma liberté. Je travaille 3 heures par jour après le boulot. Et 5 le week-end.

C’est long. C’est laborieux. Mais je ne lâche rien. Je m’accroche.

Je vis les crises d’angoisse du dimanche soir comme des électrochocs. Les remarques déplacées de mon employeur me donnent la rage d’aller au bout de ce projet.

Hors de question de supporter ça pendant 40 ans.

Vous aussi ? Alors, persévérez.

Voyez l’erreur comme un apprentissage. Les résultats viendront.

Beaucoup vous traiteront d’inconscient

Ils diront que vous rêvez. Ils penseront que vous vivez dans un autre monde. Que vous perdez votre temps.

Pourtant ces mêmes personnes essaient désespérément de fuir ce système foireux.

Certains crament leur économie en jouant au loto. Ils misent sur la chance. Ils espèrent tirer le bon numéro pour ENFIN virer leur boss.

Mais pas nous.

Nous, nous misons sur l’action. Nous croyons en notre projet. Nous vivons le désire d’accomplissement. Nous construisons notre avenir. Nous transpirons la liberté.

Nous le voulons. Vraiment.

Beaucoup l’on fait. Alors pourquoi pas nous ?

Nous ne sommes pas fous. Nous sommes ambitieux.

Alors je veux vous dire…

Ne lâchez rien.

Je sais que c’est difficile. Je sais que ça demande du temps. Je sais que les doutes, la douleur et la peur sont de puissants paralysants.

Mais gardez le cap.

Le travail et la persévérance paient.

Un jour, vous regarderez en arrière et vous contemplerez votre parcours. Les obstacles. Les labeurs.

Mais sans regret.

Parce que vous profiterez enfin de vos proches, de vos enfants et de votre temps libre. Vous prendrez des vacances sans vous soumettre aux conditions d’un chef tyrannique. Vous profiterez de votre indépendant.

C’est ça la vraie liberté.

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Kévin M.

Investisseur Immobilier et boursier.
Je me forme chaque jour pour apprendre plus dans ces domaines et je partage mes connaissances et mon expérience sur ce blog.

Mon objectif : vivre de mes investissements et vous aider à y arriver.

  • Super article Kévin, top niveau.
    J’aime beaucoup les conseils. On est bien loin des clichés que l’on trouve sur internet. Tu donnes un vrai plan d’action, c’est clair, c’est concret et on sent que tu t’y connais.
    Et comme tu le fais comprendre, obtenir son indépendance, c’est du boulot, beaucoup d’investissement perso. Mais la liberté n’a pas de prix, n’est-ce pas ?
    Hâte de suivre tes aventures:)

    • Wouah ! Merci pour tous ces compliments Jennifer. Effectivement Jennifer, la liberté n’a pas de prix. Même s’il faut passer du temps, y consacrer des week-ends et travailler dur, on reste focalisé sur cet objectif.

  • Très intéressant ! Je rajouterais également le fait d’avoir un mindset positif afin de créer une discipline quotidienne pour aller de l’avant, même à partir de rien. ????

  • Un article vraiment bien rédige et très clair ???? j’ai même eu l’impression de lire mon parcours. C’est d’excellent conseil pour toutes les personnes qui souhaitent s’extirper du quotidien du salariat.

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